Fin janvier, les allemands s’étripaient sans merci pour une sombre histoire de «nègre». D’un côté, les partisans de «Touche pas à mon nègre», de l’autre les «Nègre? C’est pas bien», pour ainsi les décrire.
Fin janvier, les allemands s’étripaient sans merci pour une sombre histoire de «nègre». D’un côté, les partisans de «Touche pas à mon nègre», de l’autre les «Nègre? C’est pas bien», pour ainsi les décrire.